Le CLIIR dénonce et condamne les autorités rwandaises qui utilisent la faim comme une nouvelle arme de destruction massive pour exterminer les paysans Hutu, Twa et Tutsi.
Catégorie : Soutien aux victimes
Le CLIIR est devenu une référence pour les services d’accueil aux réfugiés fuyant ces persécutions pour s’installer dans de nombreux pays africains (Zambie, Malawi, Afrique du Sud, Mozambique, Cameroun, Bénin, Sénégal, Ouganda, Tanzanie, etc.) et occidentaux (Belgique, France, Suisse, Pays-Bas, Allemagne, Espagne, Autriche, Danemark, Norvège, Suède, Canada, USA, Australie, etc.).
En Belgique où se trouve le siège social du Centre, le Coordinateur assiste régulièrement aux audiences comme témoin-expert auprès du Commissariat Général aux Réfugiés et de la Commission Permanente de Recours pour les Réfugiés.
La Société Civile Rwandaise en exil est toujours consternée par la disparition le 21/11/2005 de M. UWILINGIYIMANA J. suite aux méthodes terroristes de 2 enquêteurs du TPIR d’Arusha.
CLIIR craint que Ntuyahaga Bernard soit victime d’un complot planifié entre le Rwanda, certains milieux belges et le TPIR qui consisterait à rendre possible l’assassinat de ce témoin majeur
En partant du cas de Kanyangoga Cassien, le CLIIR dénonce encore une fois la « violation du droit de propriété” par le nouveau régime rwandais, notamment par le biais des assassinats de commerçants.
Le sort des ex-FAR « intégrés » dans l’APR
Depuis la victoire militaire du FPR, les nouvelles autorités rwandaises appuyés par quelques hauts officiers des ex-F.A.R. ont lancé un appel pour l’intégration dans l’APR de revenir afin de reconstruire leur pays dévasté par la guerre et les massacres.
Le CLIIR a accumulé depuis le début de 1997 plusieurs témoignages attestant d’un «génocide» sous couvert de «guerre civile». Le Centre a déjà écrit plusieurs lettres aux différents responsables américains depuis 1996.