Les chefs militaires Tutsis du FPR n’ont jamais caché leur volonté d’éliminer et de réduire significativement le nombre des Hutus du Rwanda estimé à 85% de la population rwandaise.
Catégorie : Avant 1996
La société rwandaise toute entière est devenue une zone de non-droit contrôlée et exploitée par une sorte de cartel du crime. Il ne ne recule pas devant le crime afin de s’approprier les biens des citoyens
QUINZAINE DE LUTTE CONTRE LA CULTURE DU MENSONGE, DE L’INJUSTICE ET DE L’IMPUNITÉ AU RWANDA (#8 Purges des parlementaires indésirables)
Le FPR a utilisé excessivement et abusivement les institutions étatiques pour se débarrasser des parlementaires devenus un obstacle à sa stratégie de soumission totale sur le peuple rwandais
Ils sont tombés dans les mensonges du FPR qui les a trompés sur une prétendue intégration au sein de l’APR qui n’a jamais été concrétisée. D’autres ont été rapatriés de force et assassinés dans les pires tortures.
Malgré le besoin criant en personnel judiciaire, le FPR s’est efforcé, après la prise du pouvoir en 1994, à mettre en place un appareil judiciaire qui lui soit favorable pour institutionnaliser l’impunité de ses chefs criminels
Quel est le sort d’un collaborateur HUTU qui devient inutile et gênant? Il est tout simplement éliminé, emprisonné ou forcé de s’exiler. L’impunité des criminels du FPR est assurée à ce prix là
Les meurtriers du FPR se sont débarrassés de manière systématique voire définitive tous les témoins oculaires occidentaux qui auraient pu mettre à nu leurs actes macabres
Le FPR ne pouvait supporter l’indépendance et la souveraineté du peuple rwandais dont la Société civile était gardienne pour des raisons que nous expliquons ci-après
Notre deuxième thème dévoile le plan machiavélique du Front Patriotique Rwandais (FPR) qui consistait à détruire l’Eglise catholique afin de mieux déstabiliser la Société Rwandaise en général, la Société Civile en particulier
Tuboneyeho umwanya wo kubasuhuza tubamenyesha ko ibarwa mwandikiye BBC twayibonye bityo tukaba twifuje kubagezaho ibikurikira