Un Etat qui discrimine la mémoire des morts ne saurait servir les intérêts des vivants.

Le CLIIR est devenu une référence pour les services d’accueil aux réfugiés fuyant ces persécutions pour s’installer dans de nombreux pays africains (Zambie, Malawi, Afrique du Sud, Mozambique, Cameroun, Bénin, Sénégal, Ouganda, Tanzanie, etc.) et occidentaux (Belgique, France, Suisse, Pays-Bas, Allemagne, Espagne, Autriche, Danemark, Norvège, Suède, Canada, USA, Australie, etc.).
En Belgique où se trouve le siège social du Centre, le Coordinateur assiste régulièrement aux audiences comme témoin-expert auprès du Commissariat Général aux Réfugiés et de la Commission Permanente de Recours pour les Réfugiés.
Un Etat qui discrimine la mémoire des morts ne saurait servir les intérêts des vivants.
Le CLIIR dénonce énergiquement la condamnation à 8 ans de prison de la Présidente des FDU, Mme Ingabire Victoire, par la Haute Cour de Kigali à l’issue d’un procès politique entaché de nombreuses irrégularités.
Il s’agit du Rapport du Projet Mapping sur les violations les plus graves des droits de l’homme et du droit international humanitaire commises entre mars 1993 à juin 2003 sur le territoire de la République démocratique du Congo.
Témoignages de rescapés confirmant les crimes graves, y compris de génocide, commis par l’Armée Patriotique Rwandaise (APR) contre les réfugiés Hutus en République Démocratique du Congo (RDC)
Le CLIIR demande l’arrêt de tous les rapatriements forcés de réfugiés rwandais en Ouganda. Les responsables gouvernementaux des pays qui participent à cette chasse aux réfugiés rwandais devront un jour en rendre compte en justice.
Le CLIIR dénonce et condamne le détournement criminel et l’utilisation des tribunaux GACACA pour déshumaniser et éliminer systématiquement des milliers d’intellectuels Hutu.
Plusieurs rescapés Tutsis ont été convoqués par le commandant de Police de RUSATIRA (district Huye, province du Sud) le 05/10/2007. L’un d’eux, Monsieur NDAHIRO, a été enfermé au cachot de la police pendant 2 heures pour mieux l’intimider et terroriser les autres
Le CLIIR recommande aux autorités du Royaume-Uni de rejeter les mandats d’arrêt ou les demandes d’extradition des instances judiciaires rwandaises de façade ainsi utilisées pour tromper l’opinion publique et déstabiliser les réfugiés.
CLIIR estime que ces deux couples sont innocents et victimes d’un gigantesque complot qui vise l’extermination systématique des Hutu en général et des intellectuels Hutu en particulier
En 2006, Mr Eugène NGABWA était condamné arbitrairement à 27 ans de prison. Ce rescapé a perdu sa femme Yvonne (30 ans) et ses trois enfants Germaine (7 ans), Gakunzi (5 ans) et Gatsinzi (3 ans). Ils ont été noyés dans la rivière Nyabarongo par les miliciens Hutu